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mercredi 2 octobre 2013

Comment définir la stratégie Marketing ?


Un bon plan de marketing doit répondre aux questions suivantes :

- D’après vos recherches, quelles sont les caractéristiques de votre marché cible?
- Comment vos concurrents abordent-ils ce marché?
- Quelle est la meilleure stratégie publicitaire?
- Quelles modifications devriez-vous apporter à votre matériel publicitaire, voire à vos produits ou services?

Un plan de marketing est étroitement lié au plan d’exportation et doit aborder les éléments suivants :

- Sommaire - Énoncez le but de votre plan de marketing. Le sommaire doit renfermer un aperçu de vos objectifs et indiquer la façon dont le plan s’intègre à votre stratégie d’exportation.

- Analyse du produit ou du service - Donnez une description claire de votre produit ou service et de ses qualités, et expliquez la manière dont vous pourriez le commercialiser à l’étranger.

- Analyse du marché - Indiquez la taille du marché cible et ses tendances. L’analyse doit faire état des grandes caractéristiques économiques, sociales, politiques et culturelles du marché, d’un profil du client cible ainsi que des modes de consommation et facteurs qui influencent les décisions d’achat.

- Analyse de la concurrence - Analysez la compétitivité de votre produit ou service. Cet exercice vous aidera à le positionner de manière rentable dans le marché cible et à établir vos stratégies de prix et de marketing.

- Buts - Précisez vos objectifs en ce qui concerne la part de marché, les recettes et les profits.Indiquez la position que vous désirez occuper dans le marché cible et comment vous comptez y parvenir.

- Stratégie de marketing - Décrivez votre stratégie de marketing, en incluant de l’information sur ce que vous préconisez pour déterminer le prix du produit ou du service, le mode de livraison et les méthodes de promotion.

- Mise en oeuvre -Énumérez les activités que vous comptez entreprendre pour mettre en œuvre votre plan de marketing, en précisant les dates butoir et les personnes responsables de ces activités. Établissez un budget marketing détaillé.

- Évaluation - Mettez au point une méthode d’évaluation du plan de marketing qui vous permettra de vérifier si vous avez atteint vos objectifs à différentes étapes et, le cas échéant, de déterminer les modifications à apporter.

- Bilan - En une demi-page, résumez les buts de votre plan de marketing et comment ils s’intègrent à votre plan d’exportation global.

mercredi 25 septembre 2013

Comment sélectionner un marché cible

Après le plan d’exportation, l’étude de marché est l’un des facteurs les plus importants pour réussir sur les marchés étrangers.

Sur 190 pays dans le monde, il faut bien sûr trouver celui ou ceux qui sont les plus prometteurs pour votre produit ou service.

L’étude de marché est la clé qui vous en apprendra davantage sur ces facteurs. Elle confirmera s’il existe bel et bien des débouchés dans un marché donné et vous aidera à comprendre ce qui caractérise ce marché. Vous aurez une idée générale de la manière de vous y prendre pour développer un nouveau marché. Mais surtout, vous serez à même de déterminer ce qui est important aux yeux de vos clients potentiels et ce qui peut influer sur leurs décisions d’achat.
Après avoir analysé les données, vous pourrez décider de limiter vos activités marketing à un nombre restreint de pays. En générale, les entreprises qui exportent pour la première fois, se limitent à 5 marchés au maximum.

1. Les différentes catégories de marchés

Il existe différents types de marchés, que l’on classe généralement en 3 catégories. Il est important de les connaître, surtout à l’étape des études de marché et du choix du marché. Vous pouvez ainsi cibler plus facilement un ou plusieurs marchés.

- Économies de concurrence à rythme rapide (les États-Unis, les pays d’Europe de l’ouest…)
- Économies relativement prospères reposant sur les relations personnelles (Certains pays d’Amérique du sud)
- Economies reposant sur le financement des institutions financières internationales (IFI)(Les pays d’Afrique)

2.Les études de marché

L’étude de marché peut prendre différentes formes, car il y a plusieurs façons d’étudier un marché : à certains moments, on se fie à son intuition, tandis qu’à d’autres on préfère s’appuyer sur des analyses statistiques pointues. Cependant, plus vos recherches sont poussées, moins vous risquez de laisser passer un élément important. Il existe deux grands types d’étude de marché : la recherche secondaire et la recherche primaire

La recherche secondaire:

Cette recherche se fait en consultant des revues, des études de marché ou autres, des ouvrages, des sondages et des analyses statistiques. Après avoir effectué vos recherches secondaires, il est temps de passer à la recherche primaire, c’est-à-dire recueillir des renseignements commerciaux par contact direct auprès de clients potentiels ou d’autres sources.

La recherche primaire:

La recherche primaire implique presque toujours une participation personnelle à des entretiens ou des consultations. Vos contacts au pays et à l’étranger seront plus à même de vous aider si vous leur expliquez dès le départ les objectifs de votre entreprise et que vous formulez clairement vos questions.

Par exemple :

- Description de l’entreprise : Donnez une brève description de votre entreprise, de son histoire, des secteurs ou des marchés qu’elle approvisionne, des associations auxquelles elle appartient (le cas échéant), et de votre produit ou service.

- Objectifs : Énumérez brièvement ou décrivez un ou plusieurs objectifs que vous avez établi pour l’exportation de votre produit ou service, en fonction des résultats de vos recherches secondaires.

- Produit ou service : Décrivez en termes clairs le produit ou service que vous projetez d’exporter.

- Questions : Vos questions doivent s’appuyer sur vos recherches secondaires et être aussi précises que possible. Vos interlocuteurs seront mieux disposés à vous aider s’il est clair que vous maîtrisez bien le sujet.

vendredi 20 septembre 2013

Comment élaborer un plan d’exportation ?

C’est une question cruciale : s’il n’y a pas de demande, il serait absurde de vous lancer dans l’exportation. Mais comment le savoir ? ID Cube s’engage à vous donner la réponse.

Nous commençons par analyser vos produits ou services domestique, l’image de votre société et votre stratégie commerciale. Ensuite nous étudions attentivement l’activité de vos concurrents.

Viens ensuite une analyse complète des besoins des consommateurs. Une fois toute l’information disponible, nous sommes en mesure de vous guider dans la définition des produits ou services qui ont les meilleures chances de s’exporter avec succès.
Un plan d’exportation peut se présenter comme suit :

1. Introduction

- Histoire de l’entreprise
- Énoncés de vision et de mission
- But du plan d’exportation
- Buts et objectifs organisationnels
- Buts visés sur les marchés internationaux
- Objectifs d’exportation à court et moyen terme
- Lieu et installations

2. Aspects organisationnels

- Propriété
- Direction
- Personnel
- Niveau de détermination de la haute direction
- Rapports entre l’exportation et les autres activités de l’entreprise
- Expérience et connaissances de l’entreprise en matière d’exportation
- Alliances stratégiques
- Questions touchant le marché du travail

3. Produits et services

- description des produits et services
- caractéristiques principales
- adaptation et redéfinition en vue de l’exportation
- production des produits et services
- produits et services futurs
- avantages comparatifs sur le plan de la production

4. Aperçu du marché

- Études de marché
- Contexte politique
- Contexte économique
- Taille du marché
- Principaux segments du marché
- Méthodes et critères d’achat
- Description des membres de l’industrie
- Part de marché occupée par les importations
- Barrières tarifaires et non tarifaires
- Tendances de l’industrie et autres facteurs commerciaux
- Perspectives du marché

5. Stratégie d’entrée sur le marché

- Marchés cibles
- Description des principaux concurrents
- Analyse de la position concurrentielle
- Positionnement du produit
- Stratégie de prix
- Conditions de vente
- Stratégie de distribution
- Stratégie publicitaire/recherche de débouchés
- Description des intermédiaires et des partenaires

6. Problèmes réglementaires et logistiques

- Protection de la propriété intellectuelle
- Autres questions touchant la réglementation
- Modes de transport et assurance fret des marchandises
- Documents commerciaux
- Recours à des fournisseurs de services commerciaux

7. Facteurs de risque

- Risques liés au marché
- Risques de crédit et de change
- Risques politiques et autres

8. Plan de mise en œuvre

- Principales activités
- Critères et processus d’évaluation

9. Plan financier

- Recettes ou sources de financement
- Coûts des ventes
- Coûts du marketing et de la publicité
- Autres dépenses
- Budget d’exploitation

jeudi 19 septembre 2013

Etre prêt à l’exportation

Qu’est-ce qui fait qu’une entreprise est prête à exporter?

C’est très simple :
elle doit avoir un produit ou un service commercialisable, des dirigeants déterminés, la capacité et les ressources nécessaires pour soutenir la concurrence à l’échelle internationale.

Il s’agit de savoir si votre entreprise réunit ces conditions et, dans le cas contraire, de réfléchir à la façon de les créer.



• Identifier le profil des clients
• Savoir s’il faut adapter le produit
• Choisir le moyen de distribution idéal pour votre produit/service
• Réaliser une stratégie de communication à l’étranger

Toute entreprise se doit d’avoir un plan d’affaires solide. Il n’est pas question de se lancer dans un projet d’exportation à moins d’avoir des affaires prospères dans votre marché domestique.

Réaliser un plan marketing
Lorsque la bonne marche de vos affaires sur le marché intérieur est assurée et que vous êtes prêt à vous lancer à la conquête des marchés internationaux, il est indispensable de mettre au point un plan d’exportation solide qui guidera vos activités à l’étranger.

Une fois que vous aurez parfait votre plan d’affaires, vous pourrez passer naturellement à l’élaboration du plan d’exportation. Vous vous rendrez vite compte qu’un plan d’exportation n’est pas l’affaire de quelques jours. En fait, même lorsque vous aurez commencé à exporter, vous continuerez de le mettre à jour.

Un plan d’exportation est en fait un plan d’affaires axé sur les marchés étrangers, qui définit le ou les marchés cibles, les objectifs d’exportation, les ressources nécessaires et les résultats escomptés.

lundi 19 août 2013

Oran : Batiwest, salon international du bâtiment

Batiwest, salon international du bâtiment, de la construction et des travaux publics qui se tiens à Oran, à 400 km à l'ouest d'Alger.En 10 ans de présence, Batiwest s'est imposé dans la région ouest d'Algérie comme ''Le Salon de référence'' dans les secteurs du BTP.H.

Pourquoi exposer au salon ?

Un marché du BTPH en pleine croissance :
Fort développement des infrastructures :
• Autoroute Est-Ouest,
• Modernisation d’aéroports,
• Tramway à Alger (extensions), Mostaganem, Constantine,
• Rails et métro,
• Nouveaux centres de dessalement d'eau de mer...

Le secteur de la construction en plein boom, de grands projets pour les villes algérienne :
• Création de nouvelles villes et stations touristiques,
• Nouveaux ports touristiques et commerciaux,
• Vaste programme de nouveaux logements sociaux,
• Secteur tertiaire : parcs d’entreprises et zones industrielles, nouvelles universités, centres commerciaux et grande distribution, complexes hôteliers et touristiques…

Mise en place de législations pour assurer une croissance organisée :
Code de l’urbanisme et de la construction, réglementations environnementales et certifications...

De forts besoins en :
• Rénovation et réhabilitation des bâtiments existants,
• Nouveaux bâtiments dont des logements,
• Efficacité énergétique, développement durable,
• Gestion intelligente des bâtiments,
• Gestion des chantiers, sécurité et prévention.

Exposer en Algérie, c’est aussi toucher les visiteurs du Maroc et de la Tunisie, de même que d'autres pays d'Europe et du Golf,  intéressés par le fort développement économique en Algérie dans le cadre de nouveaux investissement à travers des partenariats algéro-étranges.
Le salon BATIWEST vous offre cette opportunité de faires ces rencontres fructueuses,
Ne ratez pas ce salon.

Sogexpo international - Exhibition Company

Adresse:
Centre des Arts Riad El Feth, niveau 117, bureau 4 B11, 16109 - El Madania. Algérie

Téléphone:
+213 (0)21 67 17 33
+213 (0)21 67 27 99

Email: contact@sogexpointernational.com

web: www.sogexpointernational.com

vendredi 16 août 2013

JOURNÉES DE CONTACTS PROFESSIONNELS TEXTILE-HABILLEMENT AUX PAYS BAS

Le CEPEX organise en collaboration avec sa représentation commerciale à Rotterdam et en association avec un bureau de consulting néerlandais spécialisé des Journées de contacts professionnels B-to-B dans le secteur Textile-Habillement aux Pays Bas et ce,les 7 et 8 Novembre 2013.
Cette manifestation vise à valoriser l’image de l’industrie tunisienne du textile-habillement aux Pays Bas et à explorer de nouvelles opportunités d’exportation et de partenariat pour consolider notre position sur ce marché.
Les principales filières visées par ces journées sont : les jeans et sportswear, le Prêt-à-porter (hommes, femmes et enfants), la maille (circulaire et rectiligne) et la Lingerie-balnéaire.
Au cas où cette action suscite votre intérêt, prière confirmer votre participation par retour fax (+216 71 237 325) ou par email (shachich@tunisiaexport.tn) en renvoyant la fiche d’inscription ci-jointe dûment remplie au plus tard  le 26 Août 2013.
Les frais de participation à ces journées sont fixés à 2000 DT (n’incluant pas les frais de voyage et d’hébergement), à régler au plus tard le 26 Août 2013.

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mercredi 3 juillet 2013

Tunisie: des entreprises attirées par une main-d'œuvre bon marché

Le Figaro - le 03/07/2013

Au delà du faible coût du travail, le vrai atout de la Tunisie, c'est la qualité et le nombre de ses jeunes diplômés.

Envoyé spécial à Sousse
D'un geste vif et précis, casquette fixée sur leur foulard, une trentaine de jeunes femmes payées l'équivalent de 150 euros par mois assemblent méticuleusement des pare-soleil pour berlines de luxe allemandes. Chaque jour, près de 5000 accessoires sont expédiés en France depuis cette usine de Sousse de Tunisie Plastiques Systèmes (TPS, groupe Plastivaloire).
Coût du travail oblige, les marques de luxe (BMW, Porsche) ne sont pas seules clientes. Des décodeurs, des jouets, toutes sortes d'objets en plastique sont envoyés à des entreprises européennes. «Depuis la révolution, le coût du travail est resté stable en euros, même s'il a augmenté de 10% en dinars, explique Chekib Debbabi, directeur de l'usine, les salaires demeurent cinq fois moins élevés qu'en France.» Des produits sont parfois enlevés à la production chinoise. «Nous sommes plus compétitifs que certaines régions chinoises (Shenzhen, etc.) tout en préservant la qualité, souligne Chekib Debbabi, autre avantage, en cas de problème, nous ne sommes qu'à deux heures et demie de Paris.»
En fait, près de 1300 entreprises françaises sont implantées en Tunisie. Parmi elles, Bic, qui vient d'inaugurer une usine de stylos, à Bizerte ; un projet gelé un an par la révolution. «Cet investissement de 12,5 millions d'euros, permettra de desservir les pays du Maghreb», assure Arnaud Boulard, directeur de l'usine. Avec Sanofi, Latécoère ou Zodiac, c'est l'une des rares grandes entreprises présentes dans le pays.
La Tunisie encourage les start-up. Wassel Berrayana, fondateur de Proxym-IT (portail, applications, Internet…), travaillait dans la Silicon Valley avant de s'implanter à Sousse. Ce Franco-Tunisien a opté pour Sousse pour y développer ses produits. «20 % des inventions de la Silicon Valley partent en Inde, souligne-t-il. C'est inutile d'aller si loin car des coûts concurrentiels et une main-d'œuvre qualifiée existent en Tunisie.» Pour les ingénieurs, il tempère les avantages des coûts du travail. «Pas de méprise, dit-il, les ingénieurs débutants sont payés deux fois et demie le smic. Le vrai atout de la Tunisie, c'est la qualité et le nombre de ses jeunes diplômés.» C'est sans doute le vrai potentiel pour cette Tunisie où on aime à dire que la situation politique est désormais quasiment stabilisée. À quelques exceptions près…

Source de l'article: http://bit.ly/1cNOxHq

Injection de 150 millions $ dans le capital de CMA CGM


(Agence Ecofin) - CMA CGM, n°3 mondial du transport maritime et premier employeur privé de la ville de Marseille, vient de recevoir du Fonds Stratégique d’Investissement (FSI) 150 millions $ sous forme d’obligations remboursables en actions. Cet investissement du FSI s’accompagne de la nomination de deux nouveaux administrateurs à savoir Denis Ranque, président du conseil d’administration d’EADS et de Thomas Devedjian, directeur au FSI.

L’intervention du FSI devrait permettre à CMA-CGM de moderniser sa flotte de navires, de confirmer son ancrage en France et de faciliter ses négociations bancaires.

Rodolphe Saadé, directeur général délégué de CMA CGM a déclaré : « Nous sommes très heureux de l’arrivée au capital de CMA CGM du FSI qui va nous accompagner dans la poursuite du développement du Groupe. »

Thomas Devedjian, directeur et membre du Comité exécutif du FSI : « Nous sommes très heureux d’accompagner le groupe CMA CGM, premier employeur privé à Marseille, dans la poursuite de son développement qui lui permet de conforter sa place de leader sur le marché mondial du transport maritime par conteneurs ».

Source:  agenceecofin.com

samedi 29 juin 2013

Le salon de l'équipement textile et habillement en octobre à Tunis


Le Salon international de l'équipement textile et habillement (Siet 2013) se tiendra du 2 au 4 octobre au Parc des Expositions du Kram, au nord de Tunis.

Toute la filière de l'équipement textile et habillement sera présentée dans l'exposition: matériels de confection, de bonneterie, de broderie, de manutention, d'emballage, de finissage, de filature, appareils de contrôle et de mesure de la qualité, formation professionnelle, finissage et ennoblissement.

Participent également à l'exposition les professionnels de grandes marques d'équipements apportant l'information nécessaire quand à la maintenance et à l'entretien des machines.

A cet effet, plus de 150 marques européennes, japonaises, américaines et chinoises sont attendues au salon.

Les dernières innovations afférentes aux équipements textiles, de la confection et de l'habillement seront également exposées.

Selon les organisateurs, Siet 2013 rassemblera plus de 58 exposants et attirera plus de 6.000 visiteurs professionnels tunisiens, maghrébins, et méditerranéens du secteur textile et habillement.

Les exposants viendront d'Allemagne, Espagne, France, Italie, Turquie, Japon, Etats-Unis et Chine, pour exposer les dernières nouveautés en machines, équipements et accessoires.

Aux mêmes dates et lieu se tiendra le Salon euro-méditerranéen de l'habillement (Texmed 2013).

vendredi 28 juin 2013

Rencontre Tuniso-Française

A l’occasion de la Visite d’Etat en Tunisie de Monsieur François HOLLANDE, Président de la République française, l’UTICA et le MEDEF International organisent une rencontre économique sous le thème :

NOUVELLES OPPORTUNITES DE CROISSANCE EN TUNISIE

Vendredi 5 juillet 2013 au siège de l’UTICA 8h15-13h30
(accueil 7h30-8h15)
La clôture de cette rencontre sera rehaussée par la présence des Présidents Monsieur Moncef MARZOUKI, Président de la République Tunisienne et Monsieur François HOLLANDE, Président de la République Française, en présence des Ministres tunisiens et français en charge du développement économique.
Le programme de cette rencontre prévoit une séance plénière entre chefs d’entreprises tunisiens et français et des représentants de l’administration tunisienne autour de thématiques développées par les groupes de travail mis en place à l’occasion de la rencontre organisée par l’UTICA et le MEDEF-International en novembre 2012 (Programme ci-joint).
Une délégation d’une quarantaine de chefs d’entreprises français du MEDEF International opérant dans différents secteurs sont attendus pour cette rencontre.
Les Chefs d'entreprise intéressés sont priés de télécharger la fiche d’inscription et de nous la retourner avant le Mardi 2 juillet 2013 (les modalités de participation sont en bas de la fiche)
Pour toute information complémentaire, contacter l'UTICA : 71 142 018 / 027 / 032 ou par mail : z.majoul@utica.org.tn ouf.benattia@utica.org.tn


jeudi 27 juin 2013

Geodis Wilson propose ses services en Chine

Le spécialiste mondial de la commission de transport, Geodis Wilson, a annoncé le 26 juin qu'il allait étendre ses opérations dans la région Asie-Pacifique en proposant des services de transport ferroviaire de marchandises sur le marché intérieur chinois. L'entreprise prévoit à terme d’offrir à ses clients des liaisons intercontinentales entre la Chine et l'Europe.

Le nouveau service ferroviaire proposé par Geodis Wilson concernera un ensemble de prestations en porte à porte adaptées aux besoins du client. Les marchandises seront transportées en conteneurs, par des trains spécialement affrétés, avec possibilité de réserver en amont et en aval des services à valeur ajoutée : collecte, prise en charge avant chargement et après déchargement des conteneurs, rechargement, contrôle des transbordements, planification des wagons, documents de transport et suivi en temps réel.

Considéré comme une alternative viable au transport routier, le transport ferroviaire de marchandises est en pleine croissance en Chine.

Source: LEMOCI

mercredi 26 juin 2013

Business roadshow Tunisia

Nous avons le plaisir de vous informer que dans le cadre du projet pilote européen «EuroMed@Change»
sur l'internationalisation des PME et clusters entre l’Europe et les 4 pays méditerranéens (Tunisie, Égypte, 
Liban et Maroc), l’API et ANIMA, en collaboration avec CONECT, organisent une Journée de 
Rencontres d’Affaires B2B le Jeudi 17 Octobre 2013 qui se tiendra dans le cadre du « BUSINESS 
ROADSHOW TUNISIA » à l’hôtel Le Palace Gammarth – Tunis.

Les secteurs concernés par cette manifestation sont:
•Agroalimentaire 
•Energies Conventionnelles et Renouvelables
•Environnement et Services urbains
•TIC et Industries Créatives
•Tourisme
Les entreprises et les hommes d'affaires intéressés à prendre part, gratuitement, à ces rencontres 
d’affaires B2B, sont invités à remplir le formulaire de participation et de l’envoyer au plus tard le 15 
Juillet 2013 par E-mail: een.tunisie@api.com.tn
Pour toute information complémentaire, contacter :
CIDT/API : Tél. : 71 289 309 / 71 287 540


mardi 25 juin 2013

Côte d'Ivoire : le port d'Abidjan fait le choix du savoir-faire tricolore

25/06/2013 / Côte d'Ivoire - Afrique - Infrastructures - Transport maritime et fluvial
Après Soget, SSII française spécialisée dans les logiciels portuaires, retenue à la suite d'un appel d'offres pour équiper le port d'Abidjan avec son système d’information portuaire (SIP) dernière génération, vient le tour de Bolloré Africa Logistics de finaliser, pour sa part, les négociations pour la construction du second terminal à conteneurs du même port.








Concernant le système informatique portuaire, c'est à la suite d'un appel d’offres international lancé en octobre 2012 que le Port autonome d’Abidjan a retenu le groupement de sociétés Soget et Bureau Veritas-BIVAC pour se doter du système d'information portuaire Soget SIP. Le contrat pour la mise en œuvre du nouveau système d'information portuaire a été signé le 12 juin. Après avoir séduit le port béninois de Cotonou (voir article du Moci), Soget et son partenaire la société de contrôle et de certification Bureau Véritas-Bivac, récidivent donc en équipant un autre port africain de sa technologie portuaire. Le nouveau système d’information portuaire doit permettre de gérer avec plus d’efficacité les escales des navires, le trafic des marchandises, la facturation des prestations, la production des statistiques et les relations avec la clientèle.

C'est en mars dernier que le consortium composé de Bolloré Africa Logistics,APM Terminals et Bouygues a, pour sa part, remporté l’appel d’offres international pour construire le second terminal à conteneurs d’Abidjan. A l’issue de plusieurs semaines de négociation avec l’autorité portuaire, le consortium a paraphé, le 21 juin, la convention de concession pour le second terminal, ouvrant la voie à la signature formelle d'un partenariat public / privé qui interviendra, selon les termes de l’accord, au plus tard le 31 juillet.

Ce projet, d'un montant total de plus de 400 millions d’euros investit par le consortium, vise à doter la place portuaire d'Abidjan d'un nouveau terminal à conteneurs en eaux profondes pouvant accueillir des navires de grandes capacités. Les principales compagnies maritimes internationales et notamment asiatiques pourront donc, à terme, jeter l'ancre au Port d'Abidjan, favorisant ainsi la compétitivité et l'attractivité de la place portuaire d'Abidjan, conformément aux objectifs poursuivis par les autorités ivoiriennes.

Source: Lemoci.com




ليبيا - ورشة عمل خاصة لمناقشة مشروع النظام الأساسي لصندوق الإقراض الحسن


عقدت اللجنة الاستشارية لمشروع الصيرفة الإسلامية بمصرف ليبيا المركزي ورشة عمل خاصة لمناقشة مشروع النظام الأساسي لصندوق الإقراض الحسن الذي أعدّته اللجنة القانونية الفرعية التابعة للجنة الاستشارية، وذلك يوم السبت الماضي الموافق 22 يونيو 2013م ، بقاعة الاجتماعات بإدارة الرقابة على المصارف والنقد بغوط الشعال بمدينة طرابلس، بحضور عدد من الخبراء والمتخصصين في مجالات الشريعة و القانون والمصارف، وبمشاركة السيد الأستاذ محمد الوليد رئيس لجنة الأوقاف بالمؤتمر الوطني العام، وبحضور مستشار المحافظ لشؤون الصيرفة الإسلامية د. فتحي عقوب. 

وقد قام الحضور باستعراض مشروع النظام الأساسي لصندوق الإقراض الحسن ، والذي نصَّ على تأسيسه القانون رقم (1) لسنة 2013 الصادر عن المؤتمر الوطني العام بشأن إلغاء التعامل بالفوائد المصرفية الربوية، حيث نص القانون في مادته الرابعة على أن يتم إنشاء صندوق للإقراض الحسن، ذو شخصية اعتبارية مستقلة، يصدر نظامه الأساسي عن مجلس إدارة مصرف ليبيا المركزي ، ويخضع لرقابته، ويموَّل من قبل مؤسسات الدولة المختلفة. 

وقد أبدى الحضور ملاحظاتهم وتعليقاتهم التي استمرت لحوالي أربعة ساعات تقريبا، وقررت اللجنة القانونية أن تعكف على الأخذ بالملاحظات الواردة والتنسيق والتشاور مع بقية اللجان والأطراف بهذا الشأن لتقديم المشروع إلى مجلس غدارة مصرف ليبيا المركزي لاعتماده وإحالته إلى الجهات ذات العلاقة. 

ومن جهته أبدى السيد محمد الوليد رئيس لجنة الأوقاف بالمؤتمر الوطني العام شكره للجهود المبذولة في سبيل تطبيق القانون وإيجاد البدائل الشرعية للمواطنين ، وأكّد استعداده وكافة أعضاء لجنة الأوقاف لتقديم الدعم المطلوب لإنجاح المشروع، و وعد بالتنسيق مع بقية اللجان المعنية كاللجنة المالية والتشريعية حتى يرى هذا المشروع النور وينال الدّعن المطلوب ليحقق الهدف منه.

DES JOURNÉES D’INFORMATION SUR LES OPPORTUNITÉS D’EXPORTATION SUR LES MARCHÉS DES PAYS DE L’UMA: LIBYE, ALGÉRIE ET MAROC.

Le Centre de Promotion des Exportations organise des journées  d’information sur les opportunités d’exportation sur les marchés des pays de l’UMA: Libye,  Algérie et  Maroc.  
Le programme de ces journées comportera des présentations des perspectives de développement des exportations tunisiennes sur le marché maghrébin suivis des réunions individuelles avec les directeurs des bureaux du CEPEX à :
Tripoli, Ben  Ghazi, Algérie et  Casablanca
  • Tunis,  le 2 juillet 2013à la  Maison de l’Exportateur de 08h00 à 13h30
  • Sfax, le 03 juillet 2013 au siège de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Sfax de 08h00 à 13h30
  • Sousse, le 04 juillet 2013 à l’hôtel Diar el Andalous de 08h00 à 13h30
Pour l’inscription veuillez remplir la fiche d’inscription téléchargeable et l’envoyer par fax : + 216 71 237 325 ou par mail : nrifi@tunisiaexport.tn

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mardi 18 juin 2013

Signature d'un protocole d'accord entre les CCI de Tunis et d'Arbil (Irak):

Un protocole d’accord a été signé le jeudi 13 juin en marge du Salon Tunis Med industrie entre la Chambre du commerce et l’industrie de Tunis (CCIT) et la Chambre du commerce d’Arbil (Irak), et ce en présence des présidents des deux Chambres ainsi que Abdelwaheb Maâtar et Mehdi Jomâa, respectivement ministres du Commerce et de l’Industrie.

Le protocole consiste, entre autres, à encourager et développer la coopération entre les deux Chambres
dans les secteurs du commerce et de l’industrie afin d’instaurer les instruments nécessaires permettant de consolider les liens entre les entreprises des deux pays.

Il prévoit également la préparation d’un programme de travail bien défini ayant pour objectif la mise en place
d’un réseau commercial qui pourrait mettre en valeur les opportunités d’investissement qui existent dans le  deux pays.
Pour Mounir Mouakhar, président de la CCIT, ce protocole permettra de faciliter l’échange de données entre les investisseurs et d’élargir l’action commerciale et la coopération entre les membres des deux Chambres.
De plus, les présidents des deux Chambres se sont engagés à se réunir régulièrement pour assurer la réalisation des différents aspects dudit protocole.

Source: webmanagercenter.com

LES PLACES DE MARCHÉ ÉLECTRONIQUE, FONCTIONNALITÉS ET ÉVOLUTION

Les places de marché électronique:un lieu propice pour promouvoir l’Exportation et établir des opportunités d’affaire“, c’est ainsi que s’intitule notre dossier qui traite du cas de la Tunisie, un article par Mr Khabbab Hadhri, expert en commerce électronique en Tunisie et faisant partie de notre équipe de chroniqueurs.
La Tunisie a opté pour renforcement de l’usage des technologique innovantes dans tous les secteurs économiques (Industrie, Commerce, Tourisme,…), comme pièce centrale de la compétitivité du pays et des entreprises.cette orientation est plus que confirmée dans les différents points du programme présidentiel « Ensemble relevons les défis ».
L’investissement dans les TIC pour une entreprise est un enjeu stratégique pour sa compétitivité, à travers la réduction des coûts et la sophistication des procédés de production ou de présentation de service. C’est même un atout essentiel pour une expansion à l’international. Les places de marché électroniques, qui sont une composante importante du commerce électronique, sont l’un des outils qui connaissent un grand développement au sein des pratiques managériales internationales, mais qui reste à l’état embryonnaire chez nous. Une situation qui va en contre sens de la stratégie gouvernementale et des incitations qui sont mises en place.

PRÉSENTATION DES PLACES DE MARCHÉS

Dans le monde du commerce électronique et d’Internet, les échanges commerciaux électroniques inter-entreprises ou Business to Business (B2B) représentent 90% du nombre total des transactions du e-commerce contre seulement 10% pour les échanges avec les consommateurs B2C.
L’une des formes les plus connues du commerce électronique BtoB est sans conteste les places de marché électronique, souvent baptisée B2B E-marketplace qui représentent un lieu propice pour promouvoir les Exportations et permettre à nos entreprises d’établir des opportunités d’affaires et améliorer leur chaines d’approvisionnement .
La place de marché est un espace virtuel de commerce BtoB. Son objectif est d’agréger offres et demandes, client et vendeurs. C’est un intermédiaire commercial «en ligne» sous forme d’un portail web qui offre des mécanismes de transaction sécurisés permettant aux entreprises, particuliers, collectivités etc. de comparer et sélectionner différentes offres de fournisseurs pour des biens ou services.
Il s’agit donc d’une plate-forme technique permettant à l’acheteur de trouver des fournisseurs à des conditions tarifaires particulièrement intéressantes grâce à des systèmes d’enchères ou d’appels d’offres.
Les places de marché ont ainsi tendance à accentuer la compétitivité des entreprises. Elles permettent en particulier aux acheteurs de bénéficier de prix réduits, de connaître le panorama des offres grâce à la mise en ligne des catalogues des fournisseurs mais offrent également aux vendeurs un canal de prospection et de distribution performant à un coût avantageux.
La Place de marché est souvent dédiée à un secteur d’activité particulier: pétrole, métallurgie, automobile…

FONCTIONNALITÉS OFFERTES PAR LES PLACES DE MARCHÉ

Une place de marché est adoptée afin d’accorder une certaine flexibilité de transactions pour les différents acteurs dans différents contextes et leur permettre ainsi:
  • Une réduction des coûts pour les acheteurs par la mise en concurrence étendue et systématique des fournisseurs et des offres, ou même par l’achat groupé;
  • Un accès facilité au marché pour les acheteurs comme pour les fournisseurs (et notamment les PME) en contournant les barrières géographiques et sectorielles traditionnelles;
  • Un élargissement du champ des possibles pour toutes les parties avec la possibilité de nouveaux entrants et de substituts inédits pour tous les types de produits ou services ;
  • Des échanges plus rapides, quasiment instantanés, et plus flexibles grâce à la technologie Internet qui permet d’éviter le temps perdu pour les déplacements ;
  • La propagation à tous les achats des procédures d’appels d’offres et d’enchères inversées qui garantissent l’efficacité économique des transactions au moins disant.
Certaines places de marché proposent des fonctionnalités d’e-procurement aux entreprises qui n’en sont pas équipées en interne.
Pour les entreprises qui en disposent, la place de marché permet de relier les systèmes d’e-procurement de l’acheteur (achat électronique de biens de production et d’équipement) et e-fulfillment du vendeur (traitement électronique de commandes), par le biais d’une interface offrant de plus en plus de services.

ÉVOLUTION DES PLACES DE MARCHÉ DANS LE MONDE

Le développement fulgurant des places de marchés dans le monde avait commencé début de l’année 2000 (avec un nombre dépassant les 10.000 places de marchés). En 2002 on avait assisté à une contraction du marché du commerce électronique, le nombre a été réduit à 2000 places de marchés, suite à la quasi disparition des « pure players » (entreprise exerçant ses activités uniquement par internet), et au regroupement des places de marchés.
En 2005, le nombre était encore réduit à 500 places de marchés par le phénomène de consolidation du marché du CE (fusion/acquisition) par la présence de plus en plus de «click and mortar» (entreprise traditionnelle, le plus souvent du secteur de la distribution, ayant ajouté des activités en ligne –click- à son modèle classique –mortar- exemple de la Fnac en France), et d’un «pure player » (il s’agit en l’occurrence de eBay) et enfin de leaders technologiques (tels que Oracle, IBM…).
A ce jour, plusieurs grands acteurs économiques utilisent ces places de marché internationales puisqu’ils ont détecté leur intérêt dans ces négociations électroniques qui permettent de réduire les coûts, de puiser dans un vaste registre de fournisseurs et de simplifier les démarches. Qu’elles soient propriétaires ou indépendantes, les places de marché brassent aujourd’hui des volumes sans cesse plus importants, même si le modèle économique demande encore à être peaufiné.
Voici quelques places de marché:
  • Tradeegypt.com: place de marché en ligne de l’egypte
  • quadrem.com: La place de marché en ligne des Mines, des Minerais et des Métaux
  • mercateo.com: place de marché allemande.
  • fordaq.com: place de marché en ligne pour le commerce du bois.
  • verpakkingen.com: fabricant et grossiste d’emballages de service et d’emballages industriels
  • gophatdat.com: le marché B2B pour le commerce mondial et le premier fournisseur de services de marketing en ligne pour les importateurs et les exportateurs.
  • fis.com: place de marché de l’industrie de la pêche commerciale.
  • surplex.com: Plateforme européenne de commerce électronique permettant l’achat et la vente de machines d’occasion pour l’industrie, l’agriculture et du bâtiment et des travaux publics
  • ironplanet.com: est une place de marché en ligne pour la vente aux enchères pour les équipements lourds de construction.
Quelques Succes Stories
Il existe dans le monde plusieurs places de marché qui ont connus un fulgurant succès à l’instar de d’Alibaba.com qui est l’une des places de marché BtoB les plus importantes dans le monde, tant en termes de volume d’échanges entre professionnels que de chiffre d’affaires.Cette place de marché compte presque 360 entreprises tunisiennes qui offrent leurs prestations à travers Alibaba.com
En Tunisie la place de marché maghrebex.com connait un développement important.
Les fondateurs de la plateforme ont déjà fait preuve d’ingéniosité, en ayant déjà créé une place de marché baptisé “made-in-tunisia.net”, le succès de cette place de marché tunisienne a encouragé l’implantation en Algérie et au Maroc, en lançant respectivement “www.made-in-algeria.com” et “www.made-in-morocco.com” ( et prochainement made-in-libya.com).
Cette initiative mérite d’être salué, maghrebex.com est une place de marché régionale, et une plateformeB2B en ligne au profit des entreprises maghrébines. Il s’agit de regrouper les 3 places de marché: dans une seule plateforme dédiée à toutes les entreprises maghrébines.
Le portail compte, actuellement plus de 800 entreprises membres, bénéficiant de ses services en ligne, ainsi que des professionnels au nombre de 50 000. Les promoteurs du projet ambitionnent d’atteindre 1.800 entreprises en 2010.
Comment réussir ?
Il existe aujourd’hui, en Tunisie, un cadre favorable qui incite les PME à mieux tirer profit de ce qu’offre les TIC de moyens et d’outils permettant à l’entreprise de développer ses échanges commerciaux électronique et moderniser les méthodes de travail dans les affaires et bâtir une stratégie fondée sur l’innovation.
La crise économique actuelle incite l’entreprise à puiser la compétitivité dans d’autres souurces que le mode de production ou de gestion.
Les places de marché en Tunisie ne sont pas imprégnées dans la culture de l’entreprise, malgré l’amélioration constante de l’infrastructure technologique, et les incitations mises en place pour l’innovation.
La pépiniére d’entreprises dans le commerce électronique, qui est sous la tutelle du Ministère du Commerce el de l’Artisanat, offre une bonne opportunité pour développer un projet do place de marché.
Certaines entreprises publiques qui ont un Important volume d’achat doivent adhérer à des places de marchés pour améliorer leurs compétitivité dans un environnement concurrentiel, et ainsi donner l’exemple à d’autres. Un programme national peut être paufiné à ce niveau.
Les outils de financement et d’encouragement de tels projets technologique ne manquent pas en Tunisie, à l’instar du fonds pour l’Innovation créé récemment sur les instructions du président de la république.
Les places de marchés électroniques, d’envergure nationale ou internationale ont un avenir radieux devant eux surtout dans le cadre de la conjoncture actuelle, et dans un contexte de dématérialisation procédés de fabrication.
Khabbab Hadhri
Direction du développement du commerce
électronique et de l’économie immatérielle
Ministère du commerce et de l’Artisanat

Internet : un facilitateur d'export d'une redoutable efficacité

La rapidité et la globalisation des échanges imposent Internet comme un outil incontournable, voire même, pour certains, comme le principal instrument pour se faire connaître à l’export
Ses fonctionnalités sont extrêmement nombreuses et s’appliquent à toutes les phases d’un projet international, avec des atouts spécifiques incontestables : économie, efficacité, rapidité, mesurabilité, etc. En revanche, elles nécessitent une certaine maîtrise, aussi bien par le dirigeant que par ses équipes marketing et export, afin d’apporter réellement leur valeur ajoutée aux opérations entreprises. 

Et Internet ne doit pas, et ne peut pas, remplacer les autres moyens classiques d’action à l’export, car les échanges humains sont plus que jamais nécessaires. Il y a donc une intelligence à acquérir pour la bonne utilisation de toutes les techniques de l’export.


En 2006, l’Observatoire Europages montrait déjà qu’Internet était le principal instrument utilisé pour promouvoir l’activité à l’international des PME (loin devant les salons), pour une efficacité à peu près équivalente à celle des salons  . En 2010, ce même observatoire soulignait l’augmentation importante (respectivement 61 % et 49 %) de l’utilisation du site Internet et du marketing direct électronique et classique  . En mars 2011, McKinsey démontrait « une corrélation forte entre l’utilisation des technologies web par les salariés des entreprises ainsi que leurs clients et fournisseurs d’une part et, d’autre part, leur rythme de croissance et leur capacité à exporter ». Ainsi, « au cours des trois dernières années, les entreprises à « forte intensité web » ont cru de 7 % (3,2 % pour les autres). Elles ont aussi exporté 2 fois plus »McKinsey note en outre que chaque euro investi dans des technologies web a permis aux PME de dégager deux euros de profit, et que les annonceurs déclarent en moyenne avoir réalisé 2,5 euros de bénéfice pour chaque euro investi en publicité en ligne.

INTERNET, UN ACCÉLÉRATEUR DE DÉVELOPPEMENT POUR LES PME, NOTAMMENT À L’EXPORT

En mars 2011, un baromètre de la tribune.fr faisait ressortir le fait que « dans les entreprises qui ont un site web, le niveau des embauches, mais aussi la demande à l’export, sont nettement supérieurs à celles qui n’en ont pas ». Cette étude, comme les précédentes, consacre Internet comme un « accélérateur de développement ». Ainsi, selon ce critère, le moral des patrons était à 106 pour les PME qui ont un site Internet et à 92 pour celles qui n’en avaient pas. Internet s’impose donc, de par son coût attractif et sa visibilité permanente (arguments cités pour 78 % et 75 % des entreprises), mais aussi pour la couverture internationale, la flexibilité, la rapidité des résultats, la capacité de ciblage (tant de l’audience que de la zone géographique), la possibilité de mesurer les retours (Observatoire Europages).

Internet est la solution à ce qui constituait un handicap fondamental pour les PME à l’international : l’établissement de contacts positifs avec des futurs clients, des distributeurs et des partenaires. Dans son livre Patron et 1er exportateur de mon entreprise, Robert Haehnel insiste sur le fait que le succès à l’export dépend de deux facteurs clés :
•    concevoir une stratégie, un plan qui fasse sens et positionne son offre de manière compétitive ;
•    utiliser les bons outils afin d’exploiter les potentialités d’Internet, ce qui permet aujourd’hui aux petites entreprises de « jouer dans la cour des grands ».

Internet semble donc paré des vertus d’un outil « magique » doté de nombreuses facultés. Mais que sont ces facultés précisément ? À quel moment et comment contribuent-elles face à la complexité d’un projet export ? Quels sont les points forts, mais aussi les limites d’Internet ?

LES AVANTAGES D’INTERNET DANS LES DIFFÉRENTES ÉTAPES DU PROJET EXPORT

Tout projet export commence par une phase d’observation, de recherche d’informations, d’études approfondies sur le marché, les concurrents, les règlementations spécifiques, les modes de distribution, etc. Au cours de cette étape, Internet va avoir un rôle fondamental. Là où, auparavant, il était très difficile d’obtenir des informations pertinentes et fiables, Internet permet de se rapprocher de la source. Il est possible à présent d’effectuer de la veille sur un pays donné, sans sortir de son bureau. Il existe presque toujours un journal en ligne local pour se tenir au courant de ce qui se passe à plusieurs milliers de kilomètres. Les traductions automatiques deviennent suffisamment précises pour comprendre de quoi on parle. Les lecteurs de flux RSS permettent de rester vigilant sur des sujets précis, et de ne plus y passer un temps précieux.

Nous avons déjà là toute une panoplie de solutions qu’il faut maîtriser pour gagner un temps considérable dans l’étude complète du projet. Que ce soit sur son PC ou sur son mobile, les moteurs de recherche sont accessibles, les newsletters nous parviennent, les blogs apportent leurs contributions, et nous pouvons solliciter nos réseaux sociaux. Nous pouvons recueillir beaucoup d’informations sur nos cibles, nos futurs clients, réaliser de nombreuses démarches, tant pour la protection de nos produits (brevets, etc.), que pour les formalités nécessaires à l’export (douanes, etc.).
Internet sera aussi utilisé pour améliorer l’offre destinée aux clients. On pourra ainsi fournir des services en ligne (newsletters, fiches techniques, formulaires, réassort, etc.), améliorer la communication, l’adapter à des publics internationaux, déployer des solutions de publicité ciblées et mesurées, mener des actions pour développer la notoriété de l’entreprise dans un pays donné, installer son image auprès d’une clientèle potentielle précise, utiliser les plateformes d’agrégation de communiqués de presse.

La toile permet aussi d’utiliser les places de marché  , les extranets, de proposer des catalogues en ligne, etc. Autant d’outils accessibles aux PME pour saisir de nouveaux marchés, tisser des réseaux avec les revendeurs ou les clients, se faire connaître aux quatre coins du monde.

Tous ces ingrédients du marketing mix bénéficient ainsi de solutions rapides, précises et mesurables.

C’est seulement une fois ces techniques déjà déployées qu’est abordée la mise en oeuvre du projet export : vendre hors des frontières. Créer une boutique en ligne, se faire payer sur Internet, mettre en place les solutions logistiques, utiliser les formalités export dématérialisées, déployer des relations clients/partenaires grâce aux apports du Web 2.0, etc. Internet est aussi un moyen formidable pour mettre le client au coeur du processus : les forums, les blogs, la visioconférence, les enquêtes de satisfaction, les réseaux sociaux, etc.

Internet fournit donc quantités de solutions adaptées aux PME, pour un coût de mise en oeuvre minime et un taux d’efficacité mesurable. La liste des utilisations d’Internet dans la mise en oeuvre d’un projet export est longue, à la mesure du développement mondial du Web...

QUELLES LIMITES ?

Attention pourtant, cet eldorado peut parfois virer au Far West ! Par exemple, l’entreprise entre en contact avec des partenaires via Internet. Il faut qu'elle puisse juger de la pertinence du mail reçu et de la personne avec qui elle communique. Avant que cette solution « virtuelle » n’existe, lors des prises de contact, l'entreprise avait recours à des tiers de confiance. Aujourd'hui, les recherches de fournisseurs se font de plus en plus sur le Net, ce qui permet de raccourcir le circuit et d’économiser la marge versée au tiers en question. Mais les fournisseurs trouvés sur Internet sont-ils dignes de confiance ? Sont-ils capables de répondre directement en ligne ? Comment s’en assurer ?

Dès la phase de recherche d’information, les ressources trouvées sur Internet doivent être mises en question, afin de garantir la qualité des fondations du projet. Les astuces et techniques avancées de recherche doivent être mobilisées pour ne faire ressortir que les éléments à valeur ajoutée de la recherche et éviter ainsi pertes de temps et désillusions. Une organisation adéquate doit être mise en place pour que les abonnements auxnewsletters ne polluent pas la boite mail de travail… Les moteurs de recherche comme Google imposent des informations dont l’ordre d’apparition ne repose pas forcément sur une réelle pertinence. Trop d’information tue l’information… Il faut donc procéder avec méthode et maîtriser les techniques de recherche.

En outre, il ne suffit pas toujours que l’information soit disponible via un moteur de recherche. Aller la chercher en amont peut être plus rapide. On peut ainsi surveiller l’achat d’un nom de domaine du concurrent dans un pays cible.
De même, lors de la mise en oeuvre d’actions de communication, une adaptation très précise des solutions utilisées (site Internet, campagne e-mailing, référencement, liens sponsorisés, etc.) aux habitudes et à la culture du pays cible est nécessaire, faute de quoi les efforts seront vains. Les questions sémantiques ne peuvent pas s’inventer. Par exemple, notre bonne vieille pointeuse se nommera aussi badgeuse ou timbreuse selon le pays francophone ciblé. Sans une approche interculturelle rigoureuse, les sites et les campagnes e-mailing ne donneront aucun résultat.

CONCLUSION

Internet n’est finalement qu’un ensemble de moyens, aussi puissants soient-ils, et il convient d’apprendre à s’en servir, à utiliser le bon, à bon escient et dans les circonstances adéquates. De même qu’une bonne caisse à outils contient toute une variété d’instruments, le projet export devra aussi savoir faire appel aux techniques classiques. Internet viendra alors en renfort de ces techniques, pour une meilleure efficacité et un meilleur rendement. Tout l’enjeu est de savoir à quel moment il est judicieux de recourir à tel ou tel, et l’entreprise qui gagnera sera celle qui saura utiliser de façon optimale toute la gamme des méthodes existantes, Internet y compris, pour pénétrer ses marchés et y pérenniser son activité.

mercredi 5 juin 2013

Mission de Prospection du Marché Brésilien

Le Centre de Promotion des Exportations CEPEX se propose d’organiser une Mission de Prospection du Marché Brésilien à l’occasion de la tenue du Salon SIAL BRAZIL qui aura lieu à Sao Paulo du 25 au 28 Juin 2013 .

L’objectif de cette mission est de prospecter les opportunités d’échanges et de partenariat offertes par le marché brésilien et d'initier des contacts d'affaires avec les milieux professionnels brésiliens.

Outre la visite du salon, le programme de la mission comportera des rencontres avec des structures et opérateurs brésiliens selon les centres d’intérêt des entreprises tunisiennes qui prendront part à cette mission.

En cas d'intérêt, nous vous prions de bien vouloir confirmer votre participation par retour mail : shachich@tunisiaexport.tn       avant le 11 Juin 2013.

Nous vous remercions pour votre collaboration et nous restons à votre disposition pour tout complément d’informations.

>>Plaquette du Salon

mardi 14 mai 2013

Séminaire de formation pour Exportateurs





Le Club des Exportateurs de Tunisie organise, les jeudi 20 et vendredi 21 juin 2013, à la maison de l’exportateur, un séminaire de formation ayant pour thème :


" La déclaration douanière des marchandises" 

Cette formation sera animée par Monsieur Chelby Barkati, universitaire, ex-cadre supérieur de l’administration des douanes et auteur-chercheur.



Objectifs pédagogiques :

Savoir lire une déclaration
Savoir rédiger une déclaration
Maitrise de la logique de codification des données de la déclaration en douane
Objectifs de formation :
Compréhension, approfondissement et maîtrise des techniques de rédaction de la déclaration
Réponses aux questions et interrogations qui se posent aux gestionnaires des dossiers d’import - export
Population cible :
Cadres et employés des services financiers et des services juridiques
Cadres et employés chargés des dossiers d’approvisionnement et de transit
Contrôleurs de gestion et Auditeurs internes

Programme

Jeudi 20 juin 2013

- Les différents types de déclaration
Forme – Définition – Enonciations – Contenu
- Qui déclare ?
- Documents nécessaires pour rédiger une déclaration
- Documents à joindre à une déclaration
- Lieu et Délai des déclarations
- Circuit : Traitement des déclarations par les services douaniers

Vendredi 21Juin 2013

- Etude approfondie de la structure de la déclaration
- Les différentes cases
- Codification des données
- Dédouanement électronique : Sinda / TTN
- Les procédures simplifiées

Documentation : CD - Explication des cases - Codes des données - Articles de presse écrits par le formateur - Extraits de livres et manuels édits par le formateur

Date de formation : Jeudi 20 et vendredi 21 juin 2013
Lieu de formation : Maison de l’exportateur 
Horaire de formation : de 08h.30 à 14h.00 (pause café compris en intermède)

Les frais de participation: 
150 DT/ participant
100 DT/ participant pour les adhérents du Club (adhésion 2013)
Merci de nous faire parvenir votre paiement soit en espèces ou bien par chèque au nom du club des exportateurs de Tunisie

Contact : 
Club des Exportateurs de Tunisie : 
Tél : 71 234 200 poste 1034
Mob : 22 689 989
Email : clubexport@cepex.nat.tn

mercredi 8 mai 2013

MISSION ÉCONOMIQUE MULTISECTORIELLE À DAKAR 5,6 & 7 JUIN 2013







Projet de programme


  • Mardi 04 juin : 20 h 30 Départ de la délégation pour Dakar (Vol TU 613)
  • Mercredi 05 juin 

* 00 h 50: Arrivée à l’aéroport Léopold SEDAR SENGHOR et transfert à l’hôtel
* 13 h 00: Déjeuner offert par l’Ambassade de Tunisie à Dakar
* 16 h 00: Visite au siège du groupe EIFFAGE Sénégal
* Soirée libre

  • Jeudi 06 juin

* 09h 00: Accueil des participants à la Journée d’information économique et de
partenariat
* 09 h 30 – 11h00: Séminaire sur les opportunités commerciales et de partenariat
-Allocution de bienvenue de l’Ambassadeur de Tunisie à Dakar
-Allocution de M. Alioune SARR (à confirmer), Ministre du Commerce, de
l’Industrie et du Secteur Informel
-Communication de M. Abdellatif HAMAM, Président Directeur Général du
CEPEX
-Communication de M. Mamadou Lamine NIANG, Président de la Chambre de
Commerce, d’Industrie et d’Agriculture de Dakar
-Communication de M. Gérard SENAC (PDG Eiffage Sénégal)


-Communication de Madame Leila Farah MOKADDEM, Représentante
Résidente de la Banque Africaine de Développement (BAD)
* 11h 00 : Pause café
* 11h 15 : Contacts B to B entre opérateurs sénégalais et tunisiens
* 13h 15 : Cocktail déjeuner
* 14h 30 : Poursuite des contacts B to B


  • Vendredi 07 juin 

* 09h 00 :
- Poursuite B to B
- Visites d’entreprises
- Visite touristique à l’Ile de Gorée & au Marché Kermel
* 20h 00 : Dîner
* 22h 30 : Départ pour l’aéroport
Samedi 08 juin: 01h 40 Départ pour Tunis (Vol TU 614)


>> Consultez le programme en ligne

>> Inscription 

mardi 7 mai 2013

Tunisian Turkish Business Forum: Istanbul, du 14 au 17 Mai 2013


Dans le cadre de la promotion des échanges et du développement des relations économiques Tuniso-Turques, l’Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur « FIPA Tunisia » organise, en étroite collaboration avec l’UTICA et en partenariat avec le Conseil des Relations Économiques étrangères Turques « DEIK », l’Ambassade de Tunisie à Ankara, le CEPEX, l’APIA et la Chambre de Commerce et d’Industrie du Centre, le  Forum d’Affaires Tuniso-Turque et ce, du 14 au 17 mai 2013 à Istanbul- Turquie.

Ce Forum constituera une occasion pour présenter les potentialités économiques de la Tunisie et d’identifier les opportunités de coopération  et d’investissement entre les deux pays. Des contacts B2B  et des rendez-vous professionnels sont au programme de cette rencontre.

A cette occasion, une forte délégation d’institutionnels et d’hommes d’affaires tunisiens sera présente à Istanbul.

Les hommes d’affaires tunisiens désirant participer aux rencontres B2B sont priés de prendre l’attache de Mme Jihène BEN ROMDHANE, FIPA Tunisia- Tel. : 71 752 540/ Email : jihene.benromdhane@fipa.tn ou Mme Leila JEGHAM, UTICA- Tel. : 71 142 024/ Email : l.sassi@utica.org.tn