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mardi 12 avril 2011

Mission de prospection commerciale multisectorielle en Ethiopie du 5 au 12 juin 2011

Le Centre de Promotion des exportations, en collaboration avec l’ambassade de la Tunisie à Addis-Abeba organisent une mission de prospection commerciale multisectorielle en Ethiopie du 5 au 12 juin 2011. Au programme :
des rendez-vous B to B avec des prospects éthiopiens et des visites à des salons professionnels à Addis -Abeba.

OBJECTIFS DE LA MISSION DE PROSPECTION
Vous mettre en relation avec des entreprises locales ciblées selon vos centres d’intérêt Ainsi, vous pourrez:
> Rencontrer des importateurs potentiels éthiopiens lors de rendez-vous B to B
> Acquérir une connaissance du marché éthiopien et vous immerger dans l’environnement des affaires local
> Evaluer les possibilités de développement de votre entreprise dans ce pays
> Avoir une idée sur l’offre et la demande du marché

POURQUOI PROSPECTER LE MARCHE ETHIOPIEN?
Un hub régional, membre de la COMESA*, en expansion,
stable, et rayonnant sur la plupart des pays de la corne d’Afrique.
L’Ethiopie s’appuie sur le port de Djibouti pour la quasi-totalité de
son commerce
*Marché commun de l'Afrique orientale et australe
> Opportunités export dans divers créneaux :
• Produits pharmaceutiques
• Fils et câbles électriques
• Pièces de rechange pour automobiles (Filtres, Batteries, Ressorts et lames …)
• Transformateurs et Appareillage électriques divers (Fiches, disjoncteurs, interrupteurs)
• Produits métalliques et matériaux de constructions et services de bâtiment et travaux public
• Produits textiles
• Produits agroalimentaires…
> 2ème pays le plus peuplé d’Afrique (90 Millions d’habitants)
> Croissance soutenue du PIB à + de 10% depuis 2003,
8,5% attendu en 2011 (le plus élevé en Afrique)
> Le vecteur de croissance reste la production agricole
et les secteurs des services et de la construction (bâtiment, infrastructures)
> 1er client en Afrique subsaharienne de la Tunisie :
23% des exportations tunisiennes
> Dynamisme des Importations éthiopiennes
+20% de croissance annuelle 2005-2009
9.6 milliards USD en 2010

CONDITIONS DE PARTICIPATION
> Le candidat doit soumettre un formulaire de pré- inscription dûment remplie et signée.
> Un Conseiller en Exportation est mandaté par le CEPEX pour effectuer du 1er au 7 mai 2011 une mission
à Addis pour valider les opportunités pour les entreprises inscrites qui seront conviées à une réunion
d’information le 17 mai 2011 au cours de laquelle le Conseiller en Exportation donnera un feed back des
opportunités réelles offertes pour chaque entreprise en fonction des constations faites sur le terrain.
Date limite d’inscription : 23 Avril 2011


AIDE A L’EXPORT
Cette action est éligible au soutien du Fonds de Promotion des Exportations « FOPRODEX » au titre de
prospection des marchés extérieurs, et ce par l’octroi d’une subvention couvrant 50 % des frais de séjour
et de déplacement. Pour en connaître le détail et la procédure à suivre, rendez-vous sur :
www.tunisiaexport.tn/article/FOPRODEX

VOTRE INTERLOCUTEUR
• Imed Hfaiedh/ CEPEX
Tel: 71234200 – Poste 1449
Télécopieur: 71237325
Email: ihfayedh@tunisaexport.tn

lundi 11 avril 2011

Salon Use IT Business et technologies en Rhône-Alpes

Les 7 et 8 juin 2011 à Lyon Eurexpo.

L’idée est partie du constat suivant :

D’une part, Rhône-Alpes dispose d’un vivier de compétences fort autour de la filière logiciel et IT (Internet Technology) en général, les entreprises du secteur sont dynamiques et innovantes.
D’autre part, les besoins en équipements informatiques et technologiques sont importants. Toutes les structures ne sont pas dotées de systèmes d’information efficaces et pourtant les enjeux, en termes de compétitivité sont évidents, notamment dans les PME.

Fort de ce constat, les organisateurs d’événements professionnels en Rhône-Alpes ont décidé d’unir leurs compétences et leurs réseaux et de jouer le jeu de la complémentarité pour produire un événement unique, véritable plateforme technologique au service des entreprises.

Le lancement de « Use IT 2011 », a été officialisé fin 2010, avec pour chefs de file les sociétés Classe Export et MLG consulting (organisateurs des manifestations Classe export Lyon et Rhône-Alpes IT Days). Le Club Logistique Globale Rhône-Alpes, organisateur du salon SPILOG (Logistique, Supply Chain et Traçabilité) et la société GAIAGO (producteur des “Halles Géomatiques” sur l’Information géographique), conscients de l’intérêt de cette mutualisation de compétences, ont rejoint la dynamique générale en y associant leurs événements respectifs.

Objectifs : capitaliser sur les apports de chacun et créer un rendez-vous majeur, dont les ambitions vont bien au delà des frontières de Rhône-Alpes mais visent un rayonnement “Grand Sud”.

La Tunisie marquera sa présence
A l’occasion de la tenue de la première session du salon USE IT, Classe Export Tunisie accompagnera une délégation des opérateurs publics et privés du secteur TIC. Les exposants bénéficieront d’un carnet de RDV préétabli en réponse à leur demande.
Une nouvelle occasion se présente pour la Tunisie pour promouvoir son offre en TIC et son savoir faire à travers des DEMO Solutions, étant donné que l’export en TIC ne devient plus un choix, mais une question de survie pour les professionnels du TIC.

…..4000 m2 de solutions innovantes, 120 exposants, 3000 visiteurs attendus
Pendant deux jours, en un même lieu, des offreurs de solutions technologiques, des experts, des chercheurs,… mais également des acteurs du e-commerce, du Web, de la sécurité, de la logistique, dématérialisation, géolocalisation… seront au rendez-vous pour apporter des solutions aux entreprises.
Au total, 4000 m2 de solutions innovantes, de logiciels spécialisés, de démonstrations produits….Une offre complète, des idées et des outils pour gagner en compétitivité et en performance. Des conférences pour partager l’expérience de ceux qui réussissent ou les dernières avancées techniques pour le e-commerce.

A noter ! Une mobilisation forte de l’écosystème IT Rhône-Alpes
des partenaires qui s’engagent pour un événement fort et pertinent : ENE, Cluster EDIT, ARDI Numérique, Doc Forum, Imaginove, Rezopole,

www.classe-export.com.tn / www.salon-useit.com

L’huile d’olive tunisienne s’exporte bien

Durant la dernière campagne oléicole (novembre 2010-février 2011), les exportations de l’huile d’olive conditionnée ont évolué de 224%.
Les exportations ont atteint 3.618 tonnes contre seulement 1.611 tonnes au cours de la campagne précédente (2009-2010), annonce le ministère de l’Industrie et de la Technologie. Cela soit 8,3% de la production globale (en vrac et conditionnée), évaluée, jusqu’à fin février, à environ 43.765 tonnes.
Ce résultat (8,3%) est proche de l’objectif fixé pour cette année, soit une hausse de 10% de la part de l’huile d'olive conditionnée dans les exportations globales de ce produit.
En effet, le prix moyen d’exportation de l’huile d’olive conditionnée s’élève à 5.460 dinars la tonne contre 3.732 dinars la tonne pour l’huile d’olives en vrac, soit une majoration d’environ 46%.
En 2007, la Tunisie a crée le Fonds de promotion de l’huile d’olive conditionnée (Foprohoc) pour aider les entreprises à valoriser leurs exportations de ce produit, en le dotant d’un label tunisien et en lui assurant une valeur ajoutée.
Le conditionnement de l’huile d’olive tunisienne a été toujours identifié, par les études stratégiques sur le secteur oléicole, comme étant l’une des principales défaillances de la filière.
Les ventes en vrac de l’huile d’olive de Tunisie, pourtant produit phare connu pour sa bonne qualité, ont freiné le processus de création d’un label de qualité 100% tunisien et n’ont pas aidé cet «or liquide» aux multiples valeurs nutritives à sortir de l’anonymat et à se frayer un chemin sur un plus grand nombre de marchés internationaux.
Selon des études sectorielles, les marchés les plus prometteurs pour l’huile tunisienne conditionnée sont les Etats-Unis, le Japon, les Emirats arabes unis et l’Arabie saoudite.
sourceTap

Eric Besson en Tunisie, pour rassurer les entreprises françaises

Les responsables français veulent corriger certaines erreurs du passé. Intérêt économique oblige sans doute, la France étant le premier client, premier fournisseur et le 3ème investisseur dans le secteur industriel. Donc, la préservation des intérêts de la France après la révolution tunisienne devient une nécessité absolue pour la classe politique française.

C’est ainsi que les visites ministérielles se multiplient. Dernière en date, celle d’Eric Besson, ministre de l’Industrie, de l’Energie et de l’Economie numérique, qui vient d’effectuer une visite de travail de deux jours en Tunisie, les 24 et 25 mars 2011. Avec un agenda chargé: entretiens avec des responsables tunisiens, visites d’entreprises, rencontre avec des bloggeurs tunisiens mais aussi déplacement dans les gouvernorats de Béja et du Kef.

Point d’orgue de cette visite, une rencontre avec les journalistes tunisiens, le 25 mars, au cours de laquelle M. Besson dira, à l’instar des autres ministres français: «Nous sommes venus affirmer notre confiance dans l’évolution de la transition démocratique de la Tunisie. Nous insistons aussi sur la confiance des industriels français qui envisagent de poursuivre leurs activités». Il n’oubliera pas de mentionner certaines questions ayant trait à la hausse des salaires et à la compétitivité de la Tunisie ainsi qu’à sa place dans le commerce international.
Mais au vu des visites qu’il a effectuées dans certaines entreprises, il est aisé de comprendre que sa préoccupation majeure –et c’est normal-, c’était la “santé“ des sociétés françaises installées en Tunisie. Et ce n’est pas anodin si M. Besson a réuni, autour d’une table, les industriels du secteur automobile mais aussi du textile. Ainsi, le ministre s’est déplacé à l’usine COFAT (à Béja), l’un des principaux fournisseurs du constructeur automobile français PSA en câbles automobiles, et à TELNET, la société tunisienne d’ingénierie partenaire de plusieurs sociétés françaises tels qu’Altran, Safran et Dessault systems.

Par ailleurs, Eric Besson et son homologue tunisien Abdelaziz Rassaa ont signé un accord de coopération dans le domaine des énergies renouvelables consistant à associer la Tunisie, représentée par la STEG, aux travaux du consortium MEDGRID pour le développement des interconnexions électriques en Méditerranée. L’accord stipule également la création d’un comité mixte franco-tunisien pour l’industrie.

En outre, la rencontre entre les deux ministres a permis de lancer l’action «passeport pour l’économie numérique», consistant en des modules de formation et partenariat d’acquisition à bas coûts d’équipements visant à développer l’usage des nouvelles technologies de l’information par les petites et les très petites entreprises.

Renforcer le partenariat…

Les régions n’ont pas été oubliées dans cette visite de M. Besson pour qui celles-ci constituent un axe fondamental de la coopération tuniso-française. Dans cet esprit, à Béja, le ministre français a visité le centre régional de commande électrique et un projet de développement agricole. Au Kef, une table ronde a débattu du développement régional avec la participation d’acteurs sociaux. Sur ce plan, Eric Besson a affirmé que l’Agence Française de Développement (AFD) a mobilisé 150 millions d’euros en 2010 pour le projet du réseau gaz du nord-ouest.

M. Besson a, par ailleurs, indiqué que les Premiers ministres des deux pays avaient engagé des discussions sur l’aide globale française à la Tunisie. Il précisera aussi la venue de plusieurs ministres français en Tunisie ces dernières semaines vise à renforcer le partenariat tuniso-français.

Et comme les affaires ont horreur de l’instabilité politique, les responsables français misent beaucoup sur le passage à des institutions stables et sur la reprise de l’économie. «Il est évident que travailler avec une démocratie est un plus. Il est important de favoriser un cadre législatif favorable et un environnement des affaires sain». Quant aux revendications sociales et la relation de certaines entreprises françaises avec des membres de la famille Trabelsi, M. Besson dira tout simplement que cette question n’est pas de son ressort. «Ce que je peux vous dire c’est que la France œuvre pour que toutes les entreprises françaises restent et se développent. Ceci découle de notre responsabilité».

Rappelons que la valeur des échanges commerciaux tuniso-français s’est élevée à 7 milliards d’euros en 2010. L’évolution est de 29% pour les exportations et de 19% pour les importations. Le stock d’IDE est de 1 milliard d’euros. 1.250 entreprises françaises sont installées en Tunisie, générant 110 mille emplois.

sourcewebmanagercenter.com

Tunisie - Citec 2011 : Industries innovantes

La 8e édition du Salon de la créativité et de l’innovation technologique qu’organise depuis 2004 l’Université de Sousse, à la Foire internationale de Sousse, Citec 2011 se tiendra cette année du 10 au 13 novembre, c’est ce qu’affirment le site "Tunisia IT" et la Foire internationale de Sousse. Cette manifestation est organisée en partenariat avec le Pôle de compétitivité de Sousse, la Coopération technique allemande (GTZ) et les structures d’appui de la région.

Le salon prétend acquérir une nouvelle dimension afin de promouvoir la Foire internationale de Sousse. L’objectif étant de refléter le progrès atteint par le pays dans les domaines de l’innovation, de la créativité technologique et de la complémentarité entre les établissements d’enseignement supérieur et de la recherche scientifique et les entreprises économiques.

Le salon a pour objectif de réunir en un même espace les principaux acteurs de recherche et économiques du pays, ainsi que leurs partenaires internationaux, dans les domaines technologique, entrepreneurial et institutionnel en vue de consolider les partenariats entre l’université, les structures de recherche et les entreprises, et de créer entre eux des réseaux de travail pour relever les défis de l’innovation et de la créativité qui sont au cœur des nouvelles attributions de l’université au service de l’économie de l’intelligence.

L’édition 2011 portera sur les innovations technologiques principalement dans les trois principaux thèmes, à savoir les industries innovantes (aéronautique, industries automobiles, industries pharmaceutiques, industries agroalimentaires, emballage et conditionnement), puis le offshoring (technologies de l'information et des communications, bâtiment durable) et enfin l’environnement, l’eau et l’énergie.

Il est à noter, par ailleurs, qu’en plus de l’exposition scientifique, technologique et industrielle, qui prendra la forme de trois pavillons spécialisés selon les thèmes abordés, le salon comprendra des espaces de rencontres entre entrepreneurs, sociétés industrielles, inventeurs et chercheurs universitaires. Des séries de tables rondes seront organisées en parallèle et animées par des experts nationaux et internationaux portant sur l’innovation et la créativité dans les domaines choisis, ainsi que des témoignages de professionnels et d’universitaires.

Encore, et en marge du salon, l’assistance pourra profiter des "4es journées tunisiennes des nanosciences et nanotechnologies" et du " forum de l’Association des chercheurs et enseignants tunisiens en France "(Acetef), qui seront également organisées.

Le Salon international de la créativité et de l’innovation technologique s’adresse, à la fois, aux dirigeants d’entreprise, responsables de centres de recherche, instituts et laboratoires de recherche, centres techniques, chercheurs, porteurs de projets, institutions financières, cadres et diplômés de l’enseignement supérieur.

LaPresse.tn - Mar.22.03.11

Tunisie – Agroalimentaire: La filière laitière en danger

Les révolutions tunisienne et libyenne n'ont pas encore profité aux acteurs économiques. Les difficultés que connaissent certains risquent, pour peu que des actions ne soient pas prises en toute urgence, de compromettre le devenir de filières stratégiques développées au moyen de lourds investissements, durant de longues années. Parmi celles-ci, figure la filière laitière, fleuron de l'industrie agroalimentaire tunisienne et un des grands acquis accomplis sur la voie de la réalisation de la sécurité alimentaire du pays.

C'est la composante amont (éleveurs et centres de collecte) qui est la plus touchée. Ces derniers, en dépit d'une excellente qualité confirmée de leur lait, ne parviennent pas à le vendre aux centrales laitières. Celles-ci expliquent ce refus par la saturation des usines, le sur-stockage en période de basse lactation et la fermeture à l'export du débouché libyen. Résultat: un spectacle inouï. Le lait, à défaut de disponibilité d'équipements de réfrigération dans les fermes, est, tout simplement, déversé dans les champs ou dans des terrains vagues. Qui l'eût cru?
Il y a là à la fois un motif de fierté et un signal fort pour pallier, au plus vite possible la situation. Un motif de fierté en ce sens où cette filière était limitée, jusqu'aux années 70, à la production de lait de ferme destiné à l''autoconsommation des éleveurs. Pour la consommation urbaine, la filière dépendait, totalement, de l'importation de la poudre de lait transformée en lait industriel de boisson régénéré par la doyenne des centrales laitières STIL (Société tunisienne des industries laitières).
Trois décennies après, la Tunisie n'importe plus de lait en poudre. Elle a atteint son autosuffisance en lait frais et gère des excédents de production structurels. Mieux, ses centrales laitières (une dizaine, aujourd'hui) utilisent exclusivement du lait frais local et disposent d'une capacité d'industrialisation trois fois supérieure à la production.

Le spectacle du lait déversé est, également, une alerte sérieuse pour œuvrer à ne pas compromettre le développement de cette filière (une belle success story). La révolution a ce grand mérite de mettre la pression sur le département des industries agroalimentaires et les structures d'appui (Apia, Office de l'élevage, Groupement interprofessionnel du lait...) afin d'accélérer la réalisation des diverses composantes de la stratégie arrêtée, depuis 1995, pour développer cette filière sur des bases pérennes.

Cette stratégie était articulée autour de plusieurs axes complémentaires: amélioration du potentiel génétique à travers l'accroissement du nombre des vaches laitières de race pure, diversification de l'alimentation du cheptel par l'extension des superficies fourragères irriguées, institution de substantielles incitations en faveur de la collecte, garantie aux petits et moyens éleveurs l'écoulement de leurs excédents dans de bonnes conditions et à des prix intéressants, encouragement de l'investissements étranger et local dans des industries spécialisées dans la production de lait local...
Dans cette perspective, des stratégies de partenariat ont été développées avec des groupes étrangers (Danone, Yoplait, Emmy, Chambourcy...).

Cette stratégie avait même prévu des mécanismes de régulation de la production en cas d'abondance ou de pénurie: constitution moyennant des primes de stocks régulateurs en prévision des périodes de basse lactation ou de consommation de pointe (mois de Ramadhan, haute saison touristique et période estivale), exportation vers les pays voisins et création d'une usine de séchage de lait aux fins d'absorber l'excédent saisonnier devenu structurel et de subvenir aux besoins des industriels en poudre de lait.

Selon les professionnels qui évoluent dans cette filière, c'est le
retard qu'accuse, justement, la réalisation de l'usine de séchage qui explique en grande partie les difficultés que connaît la branche actuellement. Une bonne nouvelle toutefois. Cette usine qui est presque fin prête sera opérationnelle au plutôt au mois de mai et au plus tard au mois de juin 2011.

En attendant que la situation se clame en Libye et que les échanges reprennent leur cours normal, il nous semble stratégique, en ces moments difficiles, de venir en aide à la composante fragile de la filière, en l'occurrence, les petits éleveurs et les centres de collecte. Car, ce sont eux les premiers garants de la pérennité de cette belle filière dont le pays maîtrise, parfaitement, la traçabilité.

Source: webmanagercenter / 22 Mars 2011

La Hollande prête à appuyer la Tunisie dans divers secteurs


TUNIS, 16 Mars 2011 (TAP)- M. Ben Knapen, ministre Hollandais des affaires européennes et de la coopération internationale, qui effectue une visite de travail en Tunisie, a fait état de la disposition de son pays à ouvrir de nouvelles perspectives de coopération avec la Tunisie, notamment dans les domaines où la Hollande dispose d'une large expertise, tels que l'agriculture et les industries agroalimentaires.

M. Knapen a ajouté, au cours de l'entretien qu'il a eu, mercredi, avec M. Abdelhamid Triki, ministre de la planification et de la coopération internationale, que cette visite s'inscrit dans le cadre du souci de son pays de s'informer de la transition démocratique que la Tunisie connaît et de prendre connaissance des besoins urgents pour consolider ce processus, aux plans bilatéral et Européen.

M. Triki a particulièrement mis l'accent, à cette occasion, sur les priorités de l'étape de transition par laquelle le pays passe, notamment au plan économique, et les efforts à déployer pour réaliser la relance escomptée.

Il s'agit, également, a-t-il dit, d'accorder l'intérêt requis aux questions sociales urgentes, essentiellement l'amélioration des conditions de vie dans les régions intérieures.

Le ministre a évoqué les retombées négatives de la situation qui prévaut en Libye sur l'économie nationale (échanges commerciaux, tourisme, services), en plus du retour massif des tunisiens travaillant en Libye.

L'hôte hollandais a exprimé sa considération pour la solidarité manifestée par les citoyens et les différentes composantes de la société civile, aux zones frontalières tuniso-libyennes, pour faire face aux pressions et difficultés résultant de l'afflux de réfugiés de plusieurs nationalités.

Source: tunisiesoir.com - 16 Mars 2011

Mission Economique Multisectorielle en Jordanie

Une Mission Economique Multisectorielle, organisée par Centre de Promotion des Exportations (CEPEX), se rendra en Jordanie (Amman) les 12,13 et 14 avril 2011.

Le programme de cette Mission comportera des contacts professionnels avec des importateurs jordaniens et irakiens, une mini exposition des produits tunisiens et visites de centrales d’achat et les organisations d’importation. (Ci-après le projet du programme)


http://www.guide-export.net/fr/news/1219